Jamais je n'oublie le goût de ton regard
Qui ne me pardonne aucun écart

Et le délicieux goût de ta peau
M'a fait oublier celui de l'eau.

Décidément le goût de tes soupirs
A creusé le vide que tu viens assouvir

Celui de ton cœur et ton amour
M'a fait perdre la tête, Pompadour.

Je ne peux oublier le goût de tes lèvres
Qui me reviens dans tous mes rêves

Que dire du goût de ton parfum
Sur ma langue quand je suis à jeun

J'ai même apprécié tes cheveux 
Lisses et du même brun que tes yeux

Inoubliable, le goût de tes seins
Tenir ton cou entre mes mains

J'ai apprécié jusqu'au bout
Le goût de ton foie
Et je donnerais tout
Pour te manger encore une fois

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On était pas d'accord question régime
Mais tu accepterais sûrement
Que la place de la femme, c'est dans la cuisine
Surtout quand elle est un ingrédient.