Quand on aime on ne compte pas.
J’aurais voulu continuer,
Bien évidemment à aimer;
Car les chiffres c’est des tracas.

Vous pouvez me fuir, me détruire,
Mais je serais toujours présent,
Là-bas, déguisé en Adam.
Qu’est-ce qui pourrait me suffire ?

Dans une enveloppe complète,
Les morceaux n’ont qu’à disparaître
Et ainsi ne plus jamais naître.
Bordel y a quoi dans ma tête…

Mon corps entier soûlé d’amour,
Il ne demande qu’à imploser,
Pour ne rien laisser s’échapper.
Pour ne toucher personne autour.

Contaminé contaminant,
Ma carapace sabotée,
Je dirais que je suis vivant.
Mais embrasser c’est terminé.